"Une chanson de Roland"
Notes du metteur en scène:
“Notes pour une chanson de Roland”
Tout d’abord j’ai rêvé d’un chemin au
milieu des spectateurs,
sorte de pont jeté entre deux pôles. Je rêve des
acteurs au milieu
des spectateurs, ils vont prendre possession du plateau.
Ils sont là
depuis une infinité de jours, mille ans, bien avant, ils ont
tout
oublié sauf ce qui les a conduit là. Il faut réapprendre. Ils ont
peur. C’est cela qui les mène : la peur. Peur de devoir
recommencer,
d’avoir à dire, redire, toutes les guerres, peur
d’avoir à revivre et
d’être regardés.
Pourtant c’est le regard des spectateurs qui leur donne
la force de
commencer, de recommencer, qui leur donne la force de
retrouver, par
bribes, l’histoire et la parole.
Lancez-vous acteurs, la
mémoire vous revient. Tirez des fils,
construisez un réseau de liens, de
tentatives, déconstructions,
naissances, morts et renaissances. Voilà,
c’est encore la même
histoire sans cesse recommencée.
Il faut vous
refaire la guerre, une des quatorze mille cinq cents
guerres que l’homme a
à son actif depuis les cinquante six derniers
siècles et qui ont provoqué
trois milliards et demi de morts .
C’est en vous faisant la guerre que vous
allez revivre la chanson.
Notre chanson de Roland est une machine de combat
contre l’homme qui
peut se vanter d’être l’espèce vivante qui extermine le
plus
sûrement son prochain et ce, quelles qu’en soient les causes ou les
prétextes.
Le jeu comme machine de guerre, arrachez-vous les personnages,
jetez-
les-vous à la figure et jetez-nous les figures aux visages.
Je
vous rêve jouant à coups de poing, de dents, dedans, à coups de
pieds dans
la fourmilière de la mémoire, jouez aux larmes, avec les
armes du
bouleversement intérieur.
Voilà, la machine est en place, l’acteur est en
voie
d’identification, reconnaissez-vous en peuples, groupes, races,
sociétés... Vous êtes prêts puisque vous n’avez pas fui,
c’était la
seule issue pour ne pas être tenté de vaincre.
Je rêve qu’on peut maintenant
parfois les reconnaître, Roland,
Olivier, Charlemagne, Baligant, Marsile,
Ganelon... Juste quelques
signes dérisoires, signes de théâtre, couronnes
de cartons et
épée de bois...?
Attention arracher le signe c’est
s’arracher la vie. Non, il ne
faut pas “mettre de gants”, tentons de
retrouver une liberté
primitive, les seuls gants qui s’échangent sont les
gants du
pouvoir, donc des gants guerriers. Les corps se couvrent de
peintures
de guerre, bichromie en rouge et bleu des blessures infligées
aux
figures.
Il faut dire, la narration doit devenir une affaire
personnelle, ne
pas être commentateur, en dehors, mais totalement immergé
dans
l’histoire et sa propre mémoire émotionnelle. Pour cela mettre le
corps en jeu, en avant, chercher le danger, ne pas dire tant que le
corps n’en éprouve pas la nécessité. Appuyez-vous sur le son, la
musique créée pour ça, pour soutenir ça, pour porter plus loin
notre
vie de plateau.
N’oublions pas la part de fantastique de la chanson de
Roland.
C’est aussi un cauchemar qui se crée avec ses anges, ses démons,
ses explosions telluriques frôlant le “grand guignol”. Alors
j’imagine
maintenant des masques, des corps dédoublés, tranchés,
des peaux de
substitutions, des groins, un univers fantasmatique, un
bestiaire du
conflit projetant l’épopée vers la légende.
Et puis, encore, je veux
d’autres images pour ouvrir l’espace
théâtral et l’espace mental. Des
images qui renforcent
l’illusion ou qui la détruisent, des images pour
inviter le réel
à faire irruption sur scène. Des images projetées sur notre
chemin
et qui croisent le chemin des acteurs et se mêlent aux corps. Il
faut
tout tenter pour jouer du frottement et de l’opposition. Multiplions
les angles d’approches, mettons en perspective, construisons un
spectacle polyphonique.
Nous n’aurons de cesse de croire pendant les
répétitions que dans
un monde de la simplification médiatique et des images
manichéennes,
nous trouverons le moyen de résister en créant des objets
poétiques.
Eric Sanjou
La Chanson de Roland - un synopsis
La Chanson de Roland commence où
“Carles li reis nostre emperere
magne” (“Le roi Charles, notre grand
empereur”, vers 1) vient de
dévaster l’Espagne sarrasine et où ne résiste
plus que Saragosse,
que tient le païen Marsile. La ruse mise au point par
les Sarrasins
avec la complicité du traître Ganelon, conduit à une attaque
surprise de l’arrière-garde chrétienne commandée par Roland, le
neveu
de Charlemagne. Au cours des âpres combats qui s’engagent,
Roland refuse
d’abord de sonner du cor pour rappeler Charlemagne,
comme le lui demande
son compagnon Olivier. Mais, trop peu nombreux,
les combattants chrétiens
sont peu à peu massacrés. Roland sonne
enfin du cor, se rompt une veine et
meurt en odeur de sainteté tout
en restant maître du champ de bataille.
Revenu à Roncevaux,
Charlemagne met en fuite Marsile et son armée, puis
triomphe en un
terrible combat de l’émir Baligant, venu au secours de
Marsile. De
retour à Aix-la-Chapelle, l’empereur fait juger et supplicier
Ganelon. Saint Gabriel vient alors lui annoncer les lourdes tâches
qui
l’attendent encore.
Quelle est la réalité historique de la Chanson de Roland ?
Pour l’année 778, les Annales Royales
mentionnent une expédition
victorieuse de Charlemagne en Espagne, mais ne
soufflent mot d’une
quelconque défaite. Cependant une seconde rédaction
postérieure
d’une vingtaine d’années ajoute qu’au retour d’Espagne,
beaucoup de chefs francs furent tués dans une embuscade tendue par
les
Basques, qui pillèrent les bagages avant de s’enfuir. Aucune
des victimes
n’est nommée.
Vers 830, la Vita Karoli d’Éginhard rapporte que dans la
traversée
des Pyrénées l’empereur “éprouva quelque peu la perfidie des
Basques” et ajoute que “dans cette bataille furent tués le
sénéchal
Eggihard, Anselme, comte du palais, et Roland, duc de la
Marche de Bretagne
entre beaucoup d’autres”. L’épitaphe
d’Eggihard, qui nous a été conservée
d’autre part, précise
qu’il est mort le 15 août, ce qui nous permet de
connaître le jour
exact de la bataille. Dix ans plus tard enfin, on lit,
non sans
frustration, dans la Vita Hludovici imperatoris de l’auteur
désigné comme l’Astronome limousin : “Ceux qui marchaient à
l’arrière-garde de l’armée furent massacrés dans la montagne ;
comme
leurs noms sont bien connus, je me dispense de les redire.”
La Chanson de
Roland prendrait deux libertés fondamentales avec
l’histoire, en donnant à
Roland une importance qu’il n’a jamais
eue — à supposer même que le
personnage ait réellement existé
— et en substituant les Sarrasins aux
Basques.
Mais les historiens arabes donnent des faits une version assez
différente. Selon Ibn Al-Athir (XIIIe siècle), Charlemagne serait
venu
en Espagne à la demande du gouverneur de Saragosse, Sulayman Ben
Al-Arabi,
révolté contre le calife omeyade de Cordoue. Mais, arrivé
sur les lieux, il
se serait vu fermer les portes de Saragosse à la
suite d’un revirement de
Ben Al-Arabi. Ayant réussi à s’emparer
de ce dernier, il serait reparti
vers la France en l’emmenant
prisonnier, mais lors du passage du col de la
Ibañeta, c’est à
dire Roncevaux, les fils de Ben Al-Arabi auraient, sans
doute appuyés
par les Basques, attaqué les Francs et délivré leur père. La
Bataille de Roncevaux n’aurait donc pas été un simple accrochage
avec
des montagnards ayant pour seule ambition de piller les bagages,
mais un
combat contre les Sarrasins. Elle aurait été pour
Charlemagne un revers
assez important.
Divers recoupements rendent cette version plausible.
Elle s’accorde
avec certains détails des annales latines, qui mentionnent
par
exemple la capture de Ben Al-Arabi, mais ne parlent plus du tout de
lui ensuite, dans des circonstances où cet otage aurait pourtant
constitué un atout dans les mains de Charlemagne. Si elle est vraie
ou
proche de la vérité, les témoignages de l’historiographie
latine en
reçoivent une signification nouvelle, et la place
croissante de la défaite
devient parfaitement explicable. Les annales
officielles auront en effet
tenté sur le moment de la passer sous
silence. Mais elle était si connue,
elle avait tellement marqué les
esprits, qu’il est devenu impossible, au
fil des années, de ne pas
la mentionner du bout des lèvres, quitte à en
minimiser
l’importance, et cela au prix d’incohérences de détail qui
laissent soupçonner la vérité. Un raid de pillards sur les bagages,
vraiment ? Que faisaient alors au milieu des bagages des personnages
aussi considérables que le sénéchal — une sorte de chef d’état-
major —
et le comte du palais — une sorte de commandant de la
garde personnelle de
Charlemagne ?
Tout cela reste une hypothèse. Si elle était avérée,
pourtant, la
longue mémoire qui, trois siècles plus tard, fait entendre sa
voix
dans le poème français La Chanson de Roland aurait raison contre
l’histoire officielle — au moins touchant la nature de la
bataille, car
tout le reste est évidemment de pure fiction,
l’existence historique d’un
Roland demeure une énigme et
d’autres personnages sont assurément
légendaires.
Michel Zink.
Qui sont les personnages mis en scène dans le texte épique
médiéval ?
Il
vaudrait mieux parler de figures types. Effectivement
l’action prime si
bien l’actant dans l’épopée que celui-ci
n’a guère la possibilité de
revêtir l’épaisseur et la
cohérence psychologiques que l’on reconnaît
aujourd’hui comme
indispensables.
Les figures héroïques sont toutes
entières dans leurs actes. Leurs
paroles ne sont en fait que l’extension de
leurs actes. La chanson
de geste est peu prodigue en réflexions et
explications...
Les actants qui n’expriment pas volontiers leurs
intentions et
n’analysent que rarement les conséquences des événements,
nous
forcent à nous concentrer sur l’action. Or, parmi les nombreuses
actions successives, il n’y en a pas une qui ne soit mise en branle,
directement ou indirectement, par Roland. Sa volonté d’agir et le
don
qu’il a d’entraîner les autres dans l’action animent la
dynamique de
l’intrigue. On verra Roland aller jusqu’à mourir de
ses propres efforts, et
même après sa mort les effets de son
énergie continuent à se faire sentir
chez Charlemagne qui assumera
la victoire de la “mission sacrée” qu’il
incarne, mais
également celle, posthume, de Roland. Cette mission ne peut
s’accomplir sans violence. Nous sommes face à une morale et une
esthétique de la cruauté guerrière.
Le poète à travers la célébration
d’une ‘liturgie de
génocide” semble faire l’apologie d’une brutalité qui
engendre
la mort. Nous avons affaire à une société (exclusivement
masculine
d’ailleurs) où la justice se déclare toujours à travers la
force,
et où la victoire est considérée comme un jugement de Dieu : la
fin, du moment qu’elle est poursuivie au nom de la religion,
justifie
tous les moyens. La commémoration de l’héroïsme brasse
les eaux boueuses de
l’intolérance, de la xénophobie et du
racisme ; attitudes qui ne sont hélas
pas mortes avec la fin du
Moyen Âge.
D’après Ian
Short.
(professeur de français à l’Université de Londres et auteur de
nombreux travaux sur la langue et la littérature françaises au
Moyen
Âge)
La compagnie Arène Théâtre
SPECTACLES D'ETE
C O M M U N I Q U E
Depuis 3 ans, l’Arène Théâtre a renouvelé son rendez-vous théâtral à l’Abbaye de Belleperche, l’année dernière avec “Les Fiancés de Loches” de Feydeau. Pour ce quatrième été, l’Arène Théâtre voit plus grand et propose cinq soirées sous les étoiles en Tarn-et-Garonne : à l’Abbaye de Belleperche, à l’Abbaye de Beaulieu et à Montricoux. Elle jouera l’un de ses derniers spectacles, créé à l’automne dernier à la Chapelle du Séminaire de Moissac :
“ une chanson de
Roland ” (plus d'informations)
une création de la cie Arène Théâtre
conception / mise en
scène / scénographie > Eric Sanjou
environnement sonore > Mathieu
Hornain
images et projections > Matthieu Mailhé
assistante mise en
scène > Valérie Mornet
assistante mouvement > Flora
Monteiro
interprétation >
Christophe Champain/Thierry de
Chaunac/Franck Garric/Mathieu Hornain
Matthieu Mailhé/Céline Pique/Eric
Sanjou
Partenaires : Conseil Régional Midi-Pyrénées - Conseil Général de
Tarn-et-Garonne
C A L E N D R I E R :
> > ABBAYE DE BELLEPERCHE -
Cordes-Tolosannes (82) - (à 6 kms de
Castelsarrasin)
28 et 29 juillet
2006 à 21H30
>> ABBAYE DE BEAULIEU - Ginals (82) - (à 10 kms de
Saint-Antonin-
Noble-Val)
1er et 2 août 2006 à 21H30
(en cas de pluie
le 1er ou le 2, report d’une représentation le 3
août)
>>
MONTRICOUX (82) - Place Marcel Lenoir
6 août 2006 à 21H30
(représentation
dans le cadre des Estivales de Montricoux)
RENSEIGNEMENTS : ARÈNE THÉÂTRE
AU 05 63 94 05 78 ou 06 03 73 35 49
Les représentations ont lieu à 21H30 -
Durée du spectacle : 1H25 -
Placement libre - Billetterie sur place à
partir de 20H45 -
Entrée Générale : 12 € - Tarif Réduit : 8 € (jeunes
-26ans,
demandeurs d’emploi, groupe nous consulter)
La compagnie
Depuis 1994, la Compagnie théâtrale "Arène Théâtre" de:
Eric Sanjou
et Christophe Champain
s'est installée
dans le Tarn-et-Garonne. Elle propose en moyenne 2 spectacles par an,
créations théâtrales ou reprises du répertoire classique et
contemporain. Eric Sanjou, metteur en scène, directeur, et parfois
acteur, est l'auteur de nombreuses pièces originales comme par exemple
"L'enfant et la rivière", "La chanson de Roland", ainsi que des
adaptations tel "Hamlet", ou "Les fiancés de Loches", de Feydeau.
Dépensant
généreusement de son temps et de sa créativité, la compagnie Arène
Théâtre est aussi organisatrice d'un atelier de théâtre amateur dans le
département, ainsi que divers stages, cours, ... dans toute la région.
Liens:
- "Les fiancés de loches"
Contact:
>>> arenetheatre@wanadoo.fr
Le projet
Présentation du projet théâtral à l'abbaye de Belleperche, par la compagnie Arène Théâtre:
Date de représentation: 20 MAI 2006 pour la "Nuit des Musées"
Lieu: Abbaye de Belleperche, Tarn-et-Garonne
Projet:
"TOUT CA N'EST QU'UN JEU"
"Quelle meilleur façon de découvrir un lieu que d'y déambuler à la lumière des torches et des bougies?
Quelle meilleure façon de le découvrir qu'en croisant des personnages qui auraient pu vivre là?
Il faut se laisser aller, déambuler, voir, écouter, tenter d'accumuler des indices ...
Car soudain, là, dans la nuit, quelque part dans l'abbaye, quelqu'un va mourir!
Oh!
Pour de faux naturellement...Mais maintenant, c'est au spectateur de
mener l'enquête...Et il faudra bien une nuit pour interroger les
suspects, faire rejouer des scènes, se déplacer sur le lieu du crime
pour tenter une reconstitution, et finalement, trouver le coupable.
Les
comédiens de l'Arène Théâtre et de l'atelier amateur se mettent en
quatre pour vous faire vivre une "Nuit des Musées" diaboliquement
excitante. Alors ... A vous de jouer!"
Les acteurs
Nous allons ici vous présenter les différents acteurs qui joueront la pièce que nous préparons "Tout ça n'est qu'un jeu".
AGNES
Rôle: Hortense Duchesne - Soeur d'Araminte
ANNICK
Rôle: Araminte Duchesne - Soeur d'Hortense
FRANCOISE
Rôle: Mme Reboux - Femme de Notaire
JEAN-CLAUDE
Rôle: Le Prieur Philanchère de L'abbaye de Belleperche
JOCELYNE
Rôle: Constance - Suivante de Clarice
MARIE-JOSE
Rôle: Clarice - Soeur du Comte
PATOU
Rôle: La comtesse - Deuxième épouse du comte
SANDRA
Rôle: Lucile - "Nièce" de la Baronne de Neaulmes
SEBASTIEN
Rôle: Dorante - Fils du comte
SUZANNE
Rôle: Mme Sorbin - Viticultrice
VALERIE
<>
Rôle: Baronne de Neaulmes
YVES
Rôle: Le Comte
SYNOPSIS
1-Le
Comte a décidé de donner les vignes de Saint Sardos et son manoir à
l'Abbaye contre un logement à l'Abbaye et une rente annuelle.
2-Le Comte, ruiné, fait chanter la Baronne de Neaulmes. Elle a une fille illégitime qu'elle fait passer pour sa nièce.
3-Le
fils du Comte, Dorante, aime Lucile, prétendue nièce de la Baronne.
Dorante et Lucile ne sont pas au courant du chantage et Lucile ne sait
pas que la Baronne est sa mère mais le Comte est absolument opposé à
leur union.
4-La soeur du Comte, Clarice, doit théoriquement hériter des vignes de Saint Sardos à la mort de son frère.
5-Les soeurs Duchesne veulent se venger du Comte qui a séduit Araminte dans sa jeunesse et l'a abandonnée.
6-Madame
Sorbin, veuve, est viticultrice à Lavilledieu.Elle a prêté de l'argent
au Comte. Le seul moyen de rentrer dans ses biens est de récupérer les
vignes de Saint Sardos.
7-La Comtesse, deuxième épouse du Comte, ne veut pas venir vivre à l'Abbaye et voudrait conserver le Manoir.
8-Madame
Reboux est la femme du notaire de Cordes. Les titres de propriété des
vignes de Saint Sardos sont des faux. Elle sait que Lucile est la fille
de la Baronne.
- Le Comte et sa famille sont là pour la signature du contrat avec l'Abbaye.
- Les soeurs Duchesne sont en villégiature.
- La Baronnes de Neaulmes et Lucile ont été invitées par Dorante pour présentation de Lucile à son père.
- Madame Sorbin fait irruption pour empêcher la signature du contrat.
- Madame Reboux vient tous les vendredis pour aider à l'aumône générale.
-
Le poison: de l'huile d'aconit (capuchon du moine), utilisée en massage
usage externe, mortel si ingestion même en petite quantité.
- Le contrat doit être signé après le souper.
MISE A JOUR: 06 Juin 2006 Dates des SPECTACLES
MISE A JOUR:
06 Juin 2006
Dates des SPECTACLES D'ETE de la Compagnie
Bienvenue,
Par ce blog, vous pourrez suivre l'évolution du spectacle qui aura lieu le 20 Mai, des coulisses jusqu'à la scène.
Les photos prises lors des séances de répétition seront ici exposées pour que vous puissiez tous et toutes les admirer.
N'hésitez pas à laisser quelques petits commentaires.
Rendez-vous, donc, le 20 Mai, à l'Abbaye de Belleperche, pour la concrétisation de ces mois de dure labeur ;)
SOMMAIRE DU SITE
Les albums photos:
* Séance du 30 Janiver 2006
* Séance du 3 Février 2006
* Séance du 13 Février 2006
* Séance du 07 Mai 2006
* Séance du 14 Mai 2006
* Spectacle du 19 Mai 2006
Les catégories:
[annexes: "Une chanson de Roland"