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Groupe de théâtre amateur

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6 juin 2006

"La Dépêche du Midi" du 24 Mai

En réaction au spectacle du 20 Mai, "La Dépêche du Midi" a publié un article:


[cliquer sur l'image pour agrandir]

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28 mai 2006

"Une chanson de Roland"


Notes du metteur en scène:
“Notes pour une chanson de Roland”

Tout d’abord j’ai rêvé d’un chemin au milieu des spectateurs, 
sorte de pont jeté entre deux pôles. Je rêve des acteurs au milieu 
des spectateurs, ils vont prendre possession du plateau. Ils sont là 
depuis une infinité de jours, mille ans, bien avant, ils ont tout 
oublié sauf ce qui les a conduit là. Il faut réapprendre. Ils ont 
peur. C’est cela qui les mène : la peur. Peur de devoir 
recommencer, d’avoir à dire, redire, toutes les guerres, peur 
d’avoir à revivre et d’être regardés.

Pourtant c’est le regard des spectateurs qui leur donne la force de 
commencer, de recommencer, qui leur donne la force de retrouver, par 
bribes, l’histoire et la parole.
Lancez-vous acteurs, la mémoire vous revient. Tirez des fils, 
construisez un réseau de liens, de tentatives, déconstructions, 
naissances, morts et renaissances. Voilà, c’est encore la même 
histoire sans cesse recommencée.

Il faut vous refaire la guerre, une des quatorze mille cinq cents  une_chanson_de_roland_21
guerres que l’homme a à son actif depuis les cinquante six derniers 
siècles et qui ont provoqué trois milliards et demi de morts .
C’est en vous faisant la guerre que vous allez revivre la chanson. 
Notre chanson de Roland est une machine de combat contre l’homme qui 
peut se vanter d’être l’espèce vivante qui extermine le plus 
sûrement son prochain et ce, quelles qu’en soient les causes ou les 
prétextes.
Le jeu comme machine de guerre, arrachez-vous les personnages, jetez-
les-vous à la figure et jetez-nous les figures aux visages.
Je vous rêve jouant à coups de poing, de dents, dedans, à coups de 
pieds dans la fourmilière de la mémoire, jouez aux larmes, avec les 
armes du bouleversement intérieur.

Voilà, la machine est en place, l’acteur est en voie 
d’identification, reconnaissez-vous en peuples, groupes, races, 
sociétés... Vous êtes prêts puisque vous n’avez pas fui, 
c’était la seule issue pour ne pas être tenté de vaincre.
Je rêve qu’on peut maintenant parfois les reconnaître, Roland, 
Olivier, Charlemagne, Baligant, Marsile, Ganelon... Juste quelques 
signes dérisoires, signes de théâtre, couronnes de cartons et 
épée de bois...?
Attention arracher le signe c’est s’arracher la vie. Non, il ne 
faut pas “mettre de gants”, tentons de retrouver une liberté 
primitive, les seuls gants qui s’échangent sont les gants du 
pouvoir, donc des gants guerriers. Les corps se couvrent de peintures 
de guerre, bichromie en rouge et bleu des blessures infligées aux 
figures.

Il faut dire, la narration doit devenir une affaire personnelle, ne 
pas être commentateur, en dehors, mais totalement immergé dans 
l’histoire et sa propre mémoire émotionnelle. Pour cela mettre le 
corps en jeu, en avant, chercher le danger, ne pas dire tant que le 
corps n’en éprouve pas la nécessité. Appuyez-vous sur le son, la 
musique créée pour ça, pour soutenir ça, pour porter plus loin 
notre vie de plateau.
N’oublions pas la part de fantastique de la chanson de Roland. 
C’est aussi un cauchemar qui se crée avec ses anges, ses démons, 
ses explosions telluriques frôlant le “grand guignol”. Alors 
j’imagine maintenant des masques, des corps dédoublés, tranchés, 
des peaux de substitutions, des groins, un univers fantasmatique, un 
bestiaire du conflit projetant l’épopée vers la légende.

Et puis, encore, je veux d’autres images pour ouvrir l’espace 
théâtral et l’espace mental. Des images qui renforcent 
l’illusion ou qui la détruisent, des images pour inviter le réel 
à faire irruption sur scène. Des images projetées sur notre chemin 
et qui croisent le chemin des acteurs et se mêlent aux corps. Il faut 
tout tenter pour jouer du frottement et de l’opposition. Multiplions 
les angles d’approches, mettons en perspective, construisons un 
spectacle polyphonique.

Nous n’aurons de cesse de croire pendant les répétitions que dans 
un monde de la simplification médiatique et des images manichéennes, 
nous trouverons le moyen de résister en créant des objets poétiques.

Eric Sanjou



La Chanson de Roland - un synopsis

La Chanson de Roland commence où “Carles li reis nostre emperere 
magne” (“Le roi Charles, notre grand empereur”, vers 1) vient de 
dévaster l’Espagne sarrasine et où ne résiste plus que Saragosse, 
que tient le païen Marsile. La ruse mise au point par les Sarrasins 
avec la complicité du traître Ganelon, conduit à une attaque 
surprise de l’arrière-garde chrétienne commandée par Roland, le 
neveu de Charlemagne. Au cours des âpres combats qui s’engagent, 
Roland refuse d’abord de sonner du cor pour rappeler Charlemagne, 
comme le lui demande son compagnon Olivier. Mais, trop peu nombreux, 
les combattants chrétiens sont peu à peu massacrés. Roland sonne 
enfin du cor, se rompt une veine et meurt en odeur de sainteté tout 
en restant maître du champ de bataille. Revenu à Roncevaux, 
Charlemagne met en fuite Marsile et son armée, puis triomphe en un 
terrible combat de l’émir Baligant, venu au secours de Marsile. De 
retour à Aix-la-Chapelle, l’empereur fait juger et supplicier 
Ganelon. Saint Gabriel vient alors lui annoncer les lourdes tâches  une_chanson_de_roland_3
qui l’attendent encore.

Quelle est la réalité historique de la Chanson de Roland ?

Pour l’année 778, les Annales Royales mentionnent une expédition 
victorieuse de Charlemagne en Espagne, mais ne soufflent mot d’une 
quelconque défaite. Cependant une seconde rédaction postérieure 
d’une vingtaine d’années ajoute qu’au retour d’Espagne, 
beaucoup de chefs francs furent tués dans une embuscade tendue par 
les Basques, qui pillèrent les bagages avant de s’enfuir. Aucune 
des victimes n’est nommée.

Vers 830, la Vita Karoli d’Éginhard rapporte que dans la traversée 
des Pyrénées l’empereur “éprouva quelque peu la perfidie des 
Basques” et ajoute que “dans cette bataille furent tués le 
sénéchal Eggihard, Anselme, comte du palais, et Roland, duc de la 
Marche de Bretagne entre beaucoup d’autres”. L’épitaphe 
d’Eggihard, qui nous a été conservée d’autre part, précise 
qu’il est mort le 15 août, ce qui nous permet de connaître le jour 
exact de la bataille. Dix ans plus tard enfin, on lit, non sans 
frustration, dans la Vita Hludovici imperatoris de l’auteur 
désigné comme l’Astronome limousin : “Ceux qui marchaient à 
l’arrière-garde de l’armée furent massacrés dans la montagne ; 
comme leurs noms sont bien connus, je me dispense de les redire.”

La Chanson de Roland prendrait deux libertés fondamentales avec 
l’histoire, en donnant à Roland une importance qu’il n’a jamais 
eue — à supposer même que le personnage ait réellement existé 
— et en substituant les Sarrasins aux Basques.

Mais les historiens arabes donnent des faits une version assez 
différente. Selon Ibn Al-Athir (XIIIe siècle), Charlemagne serait 
venu en Espagne à la demande du gouverneur de Saragosse, Sulayman Ben 
Al-Arabi, révolté contre le calife omeyade de Cordoue. Mais, arrivé 
sur les lieux, il se serait vu fermer les portes de Saragosse à la 
suite d’un revirement de Ben Al-Arabi. Ayant réussi à s’emparer 
de ce dernier, il serait reparti vers la France en l’emmenant 
prisonnier, mais lors du passage du col de la Ibañeta, c’est à 
dire Roncevaux, les fils de Ben Al-Arabi auraient, sans doute appuyés 
par les Basques, attaqué les Francs et délivré leur père. La 
Bataille de Roncevaux n’aurait donc pas été un simple accrochage 
avec des montagnards ayant pour seule ambition de piller les bagages, 
mais un combat contre les Sarrasins. Elle aurait été pour 
Charlemagne un revers assez important.

Divers recoupements rendent cette version plausible. Elle s’accorde 
avec certains détails des annales latines, qui mentionnent par 
exemple la capture de Ben Al-Arabi, mais ne parlent plus du tout de 
lui ensuite, dans des circonstances où cet otage aurait pourtant 
constitué un atout dans les mains de Charlemagne. Si elle est vraie 
ou proche de la vérité, les témoignages de l’historiographie 
latine en reçoivent une signification nouvelle, et la place 
croissante de la défaite devient parfaitement explicable. Les annales 
officielles auront en effet tenté sur le moment de la passer sous 
silence. Mais elle était si connue, elle avait tellement marqué les 
esprits, qu’il est devenu impossible, au fil des années, de ne pas 
la mentionner du bout des lèvres, quitte à en minimiser 
l’importance, et cela au prix d’incohérences de détail qui 
laissent soupçonner la vérité. Un raid de pillards sur les bagages, 
vraiment ? Que faisaient alors au milieu des bagages des personnages 
aussi considérables que le sénéchal — une sorte de chef d’état-
major — et le comte du palais — une sorte de commandant de la 
garde personnelle de Charlemagne ?

Tout cela reste une hypothèse. Si elle était avérée, pourtant, la 
longue mémoire qui, trois siècles plus tard, fait entendre sa voix 
dans le poème français La Chanson de Roland aurait raison contre 
l’histoire officielle — au moins touchant la nature de la 
bataille, car tout le reste est évidemment de pure fiction, 
l’existence historique d’un Roland demeure une énigme et 
d’autres personnages sont assurément légendaires.

Michel Zink.


Qui sont les personnages mis en scène dans le texte épique 
médiéval ?

Il vaudrait mieux parler de figures types. Effectivement 
l’action prime si bien l’actant dans l’épopée que celui-ci 
n’a guère la possibilité de revêtir l’épaisseur et la 
cohérence psychologiques que l’on reconnaît aujourd’hui comme 
indispensables.
Les figures héroïques sont toutes entières dans leurs actes. Leurs 
paroles ne sont en fait que l’extension de leurs actes. La chanson 
de geste est peu prodigue en réflexions et explications...

Les actants qui n’expriment pas volontiers leurs intentions et 
n’analysent que rarement les conséquences des événements, nous 
forcent à nous concentrer sur l’action. Or, parmi les nombreuses 
actions successives, il n’y en a pas une qui ne soit mise en branle, 
directement ou indirectement, par Roland. Sa volonté d’agir et le 
don qu’il a d’entraîner les autres dans l’action animent la 
dynamique de l’intrigue. On verra Roland aller jusqu’à mourir de 
ses propres efforts, et même après sa mort les effets de son 
énergie continuent à se faire sentir chez Charlemagne qui assumera 
la victoire de la “mission sacrée” qu’il incarne, mais 
également celle, posthume, de Roland. Cette mission ne peut 
s’accomplir sans violence. Nous sommes face à une morale et une 
esthétique de la cruauté guerrière.

Le poète à travers la célébration d’une ‘liturgie de 
génocide” semble faire l’apologie d’une brutalité qui engendre 
la mort. Nous avons affaire à une société (exclusivement masculine 
d’ailleurs) où la justice se déclare toujours à travers la force, 
et où la victoire est considérée comme un jugement de Dieu : la 
fin, du moment qu’elle est poursuivie au nom de la religion, 
justifie tous les moyens. La commémoration de l’héroïsme brasse 
les eaux boueuses de l’intolérance, de la xénophobie et du 
racisme ; attitudes qui ne sont hélas pas mortes avec la fin du 
Moyen Âge.

D’après Ian Short.
(professeur de français à l’Université de Londres et auteur de 
nombreux travaux sur la langue et la littérature françaises au 
Moyen Âge)

22 février 2006

La compagnie Arène Théâtre


SPECTACLES D'ETE

C O M M U N I Q U E

Depuis 3 ans, l’Arène Théâtre a renouvelé son rendez-vous théâtral à l’Abbaye de Belleperche, l’année dernière avec “Les Fiancés de Loches” de Feydeau. Pour ce quatrième été, l’Arène Théâtre voit plus grand et propose cinq soirées sous les étoiles en Tarn-et-Garonne : à l’Abbaye de Belleperche, à l’Abbaye de Beaulieu et à Montricoux. Elle jouera l’un de ses derniers spectacles, créé à l’automne dernier à la Chapelle du Séminaire de Moissac :


“ une chanson de Roland ” (plus d'informations)

une_chanson_de_roland1

une création de la cie Arène Théâtre

conception / mise en scène / scénographie  >  Eric Sanjou
environnement sonore  >  Mathieu Hornain
images et projections  >  Matthieu Mailhé
assistante mise en scène  >  Valérie Mornet
assistante mouvement  >  Flora Monteiro
interprétation  >
Christophe Champain/Thierry de Chaunac/Franck Garric/Mathieu Hornain
Matthieu Mailhé/Céline Pique/Eric Sanjou

Partenaires : Conseil Régional Midi-Pyrénées - Conseil Général de 
Tarn-et-Garonne

C A L E N D R I E R :

> > ABBAYE DE BELLEPERCHE - Cordes-Tolosannes (82) - (à 6 kms de 
Castelsarrasin)
28 et 29 juillet 2006 à 21H30

>> ABBAYE DE BEAULIEU - Ginals (82) - (à 10 kms de Saint-Antonin-
Noble-Val)
1er et 2 août 2006 à 21H30
(en cas de pluie le 1er ou le 2, report d’une représentation le 3 
août)

>> MONTRICOUX (82) - Place Marcel Lenoir
6 août 2006 à 21H30
(représentation dans le cadre des Estivales de Montricoux)

RENSEIGNEMENTS : ARÈNE THÉÂTRE AU 05 63 94 05 78 ou 06 03 73 35 49
Les représentations ont lieu à 21H30 - Durée du spectacle : 1H25 - 
Placement libre - Billetterie sur place à partir de 20H45 -
Entrée Générale : 12 € - Tarif Réduit : 8 € (jeunes -26ans, 
demandeurs d’emploi, groupe nous consulter)



La compagnie

Depuis 1994, la Compagnie théâtrale "Arène Théâtre" de:

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Eric Sanjou                                    

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et Christophe Champain

s'est installée dans le Tarn-et-Garonne. Elle propose en moyenne 2 spectacles par an, créations théâtrales ou reprises du répertoire classique et contemporain. Eric Sanjou, metteur en scène, directeur, et parfois acteur, est l'auteur de nombreuses pièces originales comme par exemple "L'enfant et la rivière", "La chanson de Roland", ainsi que des adaptations tel "Hamlet", ou "Les fiancés de Loches", de Feydeau.
Dépensant généreusement de son temps et de sa créativité, la compagnie Arène Théâtre est aussi organisatrice d'un atelier de théâtre amateur dans le département, ainsi que divers stages, cours, ... dans toute la région.



Liens:

    -
"Les fiancés de loches"


Contact:

   
>>> arenetheatre@wanadoo.fr

22 février 2006

Le projet


Présentation du projet théâtral à l'abbaye de Belleperche, par la compagnie Arène Théâtre:

Date de représentation: 20 MAI 2006 pour la "Nuit des Musées"

Lieu: Abbaye de Belleperche, Tarn-et-Garonne

Projet:         

"TOUT CA N'EST QU'UN JEU"

"Quelle meilleur façon de découvrir un lieu que d'y déambuler à la lumière des torches et des bougies?
Quelle meilleure façon de le découvrir qu'en croisant des personnages qui auraient pu vivre là?
Il faut se laisser aller, déambuler, voir, écouter, tenter d'accumuler des indices ...
Car soudain, là, dans la nuit, quelque part dans l'abbaye, quelqu'un va mourir!
Oh! Pour de faux naturellement...Mais maintenant, c'est au spectateur de mener l'enquête...Et il faudra bien une nuit pour interroger les suspects, faire rejouer des scènes, se déplacer sur le lieu du crime pour tenter une reconstitution, et finalement, trouver le coupable.
Les comédiens de l'Arène Théâtre et de l'atelier amateur se mettent en quatre pour vous faire vivre une "Nuit des Musées" diaboliquement excitante. Alors ... A vous de jouer!"

22 février 2006

Les acteurs


Nous allons ici vous présenter les différents acteurs qui joueront la pièce que nous préparons "Tout ça n'est qu'un jeu".


AGNES


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Rôle: Hortense Duchesne - Soeur d'Araminte


ANNICK

annick


Rôle: Araminte Duchesne - Soeur d'Hortense


FRANCOISE

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Rôle: Mme Reboux - Femme de Notaire


JEAN-CLAUDE

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Rôle: Le Prieur Philanchère de L'abbaye de Belleperche


JOCELYNE

jocelyne

Rôle: Constance - Suivante de Clarice


MARIE-JOSE

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Rôle: Clarice - Soeur du Comte


PATOU

patou

Rôle: La comtesse - Deuxième épouse du comte


SANDRA

sandra

Rôle: Lucile - "Nièce" de la Baronne de Neaulmes


SEBASTIEN

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Rôle: Dorante - Fils du comte


SUZANNE

suzanne

Rôle: Mme Sorbin - Viticultrice


VALERIE

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Rôle: Baronne de Neaulmes


YVES

yves

Rôle: Le Comte


SYNOPSIS

1-Le Comte a décidé de donner les vignes de Saint Sardos et son manoir à l'Abbaye contre un logement à l'Abbaye et une rente annuelle.
2-Le Comte, ruiné, fait chanter la Baronne de Neaulmes. Elle a une fille illégitime qu'elle fait passer pour sa nièce.
3-Le fils du Comte, Dorante, aime Lucile, prétendue nièce de la Baronne. Dorante et Lucile ne sont pas au courant du chantage et Lucile ne sait pas que la Baronne est sa mère mais le Comte est absolument opposé à leur union.
4-La soeur du Comte, Clarice, doit théoriquement hériter des vignes de Saint Sardos à la mort de son frère.
5-Les soeurs Duchesne veulent se venger du Comte qui a séduit Araminte dans sa jeunesse et l'a abandonnée.
6-Madame Sorbin, veuve, est viticultrice à Lavilledieu.Elle a prêté de l'argent au Comte. Le seul moyen de rentrer dans ses biens est de récupérer les vignes de Saint Sardos.
7-La Comtesse, deuxième épouse du Comte, ne veut pas venir vivre à l'Abbaye et voudrait conserver le Manoir.
8-Madame Reboux est la femme du notaire de Cordes. Les titres de propriété des vignes de Saint Sardos sont des faux. Elle sait que Lucile est la fille de la Baronne.

- Le Comte et sa famille sont là pour la signature du contrat avec l'Abbaye.
- Les soeurs Duchesne sont en villégiature.
- La Baronnes de Neaulmes et Lucile ont été invitées par Dorante pour présentation de Lucile à son père.
- Madame Sorbin fait irruption pour empêcher la signature du contrat.
- Madame Reboux vient tous les vendredis pour aider à l'aumône générale.
- Le poison: de l'huile d'aconit (capuchon du moine), utilisée en massage usage externe, mortel si ingestion même en petite quantité.
- Le contrat doit être signé après le souper.

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21 février 2006

MISE A JOUR: 06 Juin 2006 Dates des SPECTACLES



MISE A JOUR
:

06 Juin 2006

Dates des SPECTACLES D'ETE de la Compagnie


Bienvenue,
Par ce blog, vous pourrez suivre l'évolution du spectacle qui aura lieu le 20 Mai, des coulisses jusqu'à la scène.
Les photos prises lors des séances de répétition seront ici exposées pour que vous puissiez tous et toutes les admirer.
N'hésitez pas à laisser quelques petits commentaires.

Rendez-vous, donc, le 20 Mai, à l'Abbaye de Belleperche, pour la concrétisation de ces mois de dure labeur ;)


SOMMAIRE DU SITE

Les albums photos:

* Séance du 30 Janiver 2006

* Séance du 3 Février 2006

* Séance du 13 Février 2006

* Séance du 27 Mars 2006

* Séance du 02 Avril 2006

* Séance du 09 Avril 2006

* Pause-café du 23 Avril 2006

* Séance du 07 Mai 2006

* Séance du 14 Mai 2006

* Spectacle du 19 Mai 2006


Les catégories:

* Le projet

* Les acteurs et le synopsis

* La compagnie Arène Théâtre

[annexes: "Une chanson de Roland"

              "La Dépêche du Midi" du 24 Mai"]

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